Mes années "Au bonheur des Grenouilles" ont forgé des réflexes : quand il s'agit d'allumer la machine, couper la matière, assortir, je ne résiste pas à multiplier les mariages, coudre 10 bavoirs quand un seul sera glissé dans l'enveloppe pour le petit homme né sur l'île au loin... Et le plaisir naît de cette multiplication des possibles, de la matière brute transformée en objets finis!
ouii et de faire des merveilles...c genial..et c beau...;)
Rédigé par : rachel | 21 juin 2014 à 16:33